Nathan Turner

Turner Nathan ;: ...Humain ;: ...

;: ID Card ;:

Nom &' Prénom ; Turner Nathan
Surnom ;: Nath'
Date de naissance ;: 5 Février 1992 en Angleterre.
Lieu de résidence ;: Forks
Taille ;:1m86
Age ;:
Capacité ;://

;: Ton Personnage ;:

;: Physique ;: { 5 lignes
Mon physique à présent... Et bien banale j'aurais envie de vous dire cependant, je vais pousser la description un peu plus loin, pour vous faire plaisir bien entendu. Très bien alors, sans vous mentir je suis plutôt fier de mon physique et si je ne me trouve pas d'une beauté incroyable je crois néanmoins être en mesure de dire que je suis 'charmant'. Toisant les 1m86 je présente une carrure plutôt carrée sans non plus être exagérément musclé. Enchainant les petits boulots et, surtout n'ayant pas de voiture je me déplace la plupart du temps à pieds et mon régime alimentaire plutôt strict d'eu au peu d'argent que nous possédons font de moi ce que je suis : fin mais musclé, léger et pourtant imposant. De plus, le faite de passer mes journées de liberté à bosser de droite et de gauche m'ont fait apprécier le sport si bien qu'il m'arrive souvent à présent de partir plus tôt de chez moi avant de m'offrir une ou deux petites heures de footing ce qui entretien ma carrure qui se rapproche déjà plus de celle d'un homme que de celui d'un adolescent si bien qu'il n'ai pas rare que l'on se méprenne sur mon âge véritable me prenant pour un homme de 20 plutôt que pour un ado' de tout juste 17.
Pour ce qui est de mon visage je dois dire qu'il est plutôt agréable à regarder. En effet, je possède des traits plutôt fins et symétrique ainsi que deux adorables fossettes qui ne sont hélas que très peu mis en valeur tant mes sourires se font rare. Mon visage garde donc une sévérité presque effrayante pour les autres et mon regard, d'un bleu cobalt, fixe, profond mais surtout dur et froid comme la glace font réfléchir à deux fois les personnes qui désireraient m'aborder. Chose qui d'ailleurs me convient parfaitement tant je désire garder ma solitude intact aussi, ai-je tendance à user du pouvoir dévastateur de mes yeux pour obtenir le silence, le calme ou tout simplement le respect. Oui, je sais être imposant quand il le faut tout comme je sais m'effacer. Tout dépend des circonstances diront nous.
Je finirais enfin par mes cheveux, d'un noir d'encre ils tombent le plus souvent en pagaille autour de mon visage signe que j'ai depuis bien longtemps cessé d'essayer de les dompter si bien qu'ils rajoutent un côté «sauvage» et «sombre» à mon visage.
Pour ce qui est de mon style vestimentaire je reste relativement sobre. N'aimant peu les couleurs agressives je préfère le plus souvent me vêtir de blanc ou de noir, usant parfois de quelques touches de gris. J'aime néanmoins être présentable et, si nous ne possédons peu d'argent pour des vêtements de marques je tache de mettre des habits qui reste tout de même «classe» afin de paraître un tant sois peu bien habillé.
Pour ce qui est dès petits détails de mon physique je dirais que je n'ai rien d'étonnant si ce n'est une peau extrêmement blanche en contraste avec ma chevelure noire et mettant en valeur mes yeux d'un bleu perçant. Je possède également des joues généralement mal rasé, plus par oubli que par envie et je n'y prête d'ailleurs que très peu attention même si il paraît que cela donne un côté «viril» à ma personnalité.

;: Caractère ;: { 7 Lignes
Qui je suis ? Voilà une question auquel il est bien difficile de répondre car, pour tout vous dire, je n'aime que très peu parler de moi et de ma vie en générale mais enfin, essayons. Pour commencer, je dirais que je suis quelqu'un d'extrêmement réservé et de solitaire. Je me suffis à moi même en quelque sorte si bien que je vais très peu vers les autres de peur d'être rejeté qui sais ? Où simplement parce que je n'ai rien de très intéressant à dire. Oui, voilà le problème je me qualifie comme quelqu'un d'inatéressant bien que les autres préfèrent me définir en tant qu'insociable, de «sauvage» comme le dit si bien ma mère qui désespère de ne pas me voir vivre pleinement ma vie d'adolescent. Enfin ce n'est pas très important car si je me moque d'une chose c'est bien de celle là : ce que les autres pensent de moi après tout, je suis comme je suis à vous de voir si vous m'acceptez ainsi pour le reste, ce n'est en rien mon problème. Solitaire donc et un éternel rêveur. J'aime en effet m'échapper dans la lecture ou encore dans le dessin, voilà une qualité dont je suis fière ! Mon coup de crayon, seul manière d'oublier un peu mes préoccupations quotidiennes, unique barrière à tous ses problèmes qui teinte mon existence de noir et de gris. Oh, pardon, j'allais omettre le principal trait de mon caractère. Je suis taciturne et il est souvent bien rare de me voir afficher un quelconque sourire, plus rare encore de me voir éclater de rire suite à une blague quelconque. Une manière comme une autre pour les autres de me qualifier de «coincé». Mais que voulez-vous ? Je pars du principe que ma situation actuelle ne me permet en rien de rire ou de sortir entre ami(e)s. Mes problèmes prennent en effet une place trop importante et je me donne tant de mal pour permettre à ma mère et mes sœurs d'avoir une vie correct que j'en oublie de vivre ma vie. Nous en venons ainsi à une deuxième facette de ma personnalité. Je suis responsable peut-être trop pour mon âge ainsi qu'extrêmement débrouillard si bien que je ne demande que très rarement de l'aide pour ne pas dire jamais. En vérité, j'ai horreur de ça, demander à quelqu'un de m'aider et au dessus de mes capacités tout comme je ne supporte pas d'être plain. Orgueilleux sans doute, un peu voir beaucoup mais c'est ainsi que la vie m'a forgé alors, pourquoi me plaindre de ce que je suis ? Bon, passons, pour creuser un tant sois peu mon côté dépressif je rajouterais que j'ai également un 'mauvais caractère', plutôt franc, je ne passe pas par quatre chemins pour dire ce que je pense et bien souvent, mais mots se trouvent devenir aussi blessant que des coups et atteigne généralement leur but : blesser la personne ou lui faire plaisir tout dépend de mon désir. Vous l'aurez compris, je ne me laisse par marcher sur les pieds et, si je me moque de ce que les gens disent dans mon dos ou pense de moi je pourrais cependant devenir particulièrement agressif si quelques malins trouvaient des commentaires à faire sur ma famille. Seul point sensible, seule chose à ne pas commenter au risque de déclencher ma colère et croyez-moi je ne suis en aucun cas tendre dans ces cas là aussi bien sur les mots que sur les coups.
Mis à part cela je suis quelqu'un possédant un calme et un sang-froid désespérant qui trouve une solution à pratiquement chaque situation et qui réfléchit énormément avant de prendre une décision. De grandes qualités malgré, des qualités qui font de mon personnage un être étrange, différent des autres uniquement parce que je suis plus 'mature' que certains. Pourtant je demeure un adolescent qui ne cesse de se questionner sur l'avenir et notamment sur mon métier futur : que vais-je devenir ? Voilà une question qui me préoccupe chaque jour tant je ne vois pas d'issu à l'impasse qu'ai ma vie actuelle. Et bien sûr, à cela s'ajoute les problèmes courant que rencontre les jeunes hommes de mon âge : les filles, l'amour et tout le tintouin. Et là, une question se pose : serais-je sans cœur ? Je ne vous le cacherais pas j'ai déjà eu plusieurs copines, des aventures mais jamais je ne suis parvenu à m'attacher réellement, à «tomber amoureux» comme on dit si bien que mes histoires se sont souvent terminé en catastrophe, crise de larmes ou de jalousies je ne suis jamais resté en couple plus de deux semaines et ai bien souvent brisé des cœurs sans que je ne ressente le moindre remord. Un gros défaut n'ai-ce pas ? Surtout qu'une fois ma barrière brisée je devient d'une douceur extrême et également charmeur à n'en plus pouvoir cependant, pour ma tranquillité et pour ne pas causer trop de mal je m'en cantonne aujourd'hui à de simples aventures, à des «histoires de cul» comme dirait ceux de mon âge. Tiens, je vous paraît moins coincé maintenant ? Et sans doute un peu salaud je présume néanmoins, je m'excuse mais il ne peut en être autrement tout du moins, pour le moment.

Cependant et, en faisant impasse sur mes histoires d'amour catastrophiques je reste un ami fidèle, généreux et surtout : protecteur si bien que je pourrais paraître étouffant dans ce cas, il ne faut pas hésiter à m'en parler mais je dois dire qu'il me sera difficile d'agir autrement. Car c'est dans ma nature d'aider ce que j'aime et je ne supporte pas de les voir souffrir si bien que je suis souvent l'épaule sur laquelle on vient pleurer, celui à qui on se confit moi qui écoute, conseil et tente un tant sois peu de délivrer les autres de leur peine. Généreux encore une fois, trop me répète souvent ma mère qui encore une fois trouve que je ne m'occupe pas suffisamment de moi si bien qu'elle en vient à culpabiliser de m'imposer toutes ces responsabilités. Sans doute a-t-elle raison. D'ailleurs je lui en veux également un peu cependant jamais je ne pourrais me plaindre de quoi que ce sois. Car, si rien n'ai facile pour moi j'ai décidé d'avancer coute que coute et de m'occuper de ma famille avant tout.
Et pour ce qui ai de m'occuper de moi et bien... J'attendrais encore un peu.

;: Hors Jeux ;:

Jours de connexion ;: 4/7
Nom de l'avatar ;:Mat Dallas. <3

;: Histoire ;: { 13 lignes
Je suis né là-bas, quelque part dans un quartier de Londres dans un des plus prestigieux hôpital que cette ville puisse compter en son sein. Fils de Marc Turner, respectable avocat et de Jane Turner jeune femme sublime devenue par choix, mère au foyer. Sans doute serais-je devenue un adolescent sérieux, destiné à une grande carrière professionnel si la vie n'avait pas prit un tournant aussi radicale et, aujourd'hui encore il m'arrive de haïr cette vie et cette rencontre qui on fait de ma mère et moi même, les prisonnier d'un monde qu'on désirerait tant quitter. Cependant, pardonnez-moi sans doute vais-je trop vite en besogne. Très bien, je vais donc tout reprendre pour enfin en venir au plus important, à cet acte qui a fait de moi ce que je suis aujourd'hui...

Pour le peu que je me souvienne, j'ai vécu une enfant heureuse jusqu'à l'âge de mes 10ans. Petit homme modèle, aimant et aimé je prenais plaisir à aller à l'école tout comme j'admirais mon père qui, souvent, me prenait sur ses genoux afin de m'expliquer la beauté de son métier. Bien sûr, j'étais trop jeune encore pour comprendre toutes les subtilités qu'entrainait un tel dévouement à la justice cependant, je comprenais les grandes lignes et prenais le plus grand plaisir à imaginer mon père, si digne dans sa robe d'avocat plaider la cause d'une quelconque personne que l'on voudrait condamner à la plaisir. Je trouvais également dans ses mots, toute la fierté qu'un enfant recherche en son père et pour moi, nul doute qu'il était le plus grand et le plus parfait des pères que l'on puisse avoir.
Cependant, et, au delà de mon admiration pour Marc venait aussi mon plaisir à côtoyer ma mère. Femme de tout juste 25ans elle était dans nul doute la plus belle femme que mes yeux d'enfant ai été donné d'observer. Possédant un corps splendide aux courbes avantageuses et aux jambes interminables elle présentait également un visage d'ange. D'une pâleur extrême elle se plaisait à orner ses lèvres de rouge carmin afin de contraster avec sa peau sans couleur mais également pour réchauffer le bleu de ses yeux qui, comme les miens demeuraient étrangement froid presque dur. Cependant, c'est de son sourire dont je me souviens si bien, ce sourire qui chaque nuit s'étendait sous mon regard émerveillé, se sourire qui m'ouvrait la porte des rêves et qui m'accompagnait une grande partie de la nuit lorsque je tombais malade. Un sourire grandiose qu'elle me légua sans égoïsme, un sourire merveilleux qui me cachait bien des douleurs et des tristesses.
Ne le savez-vous pas ? L'amour rend aveugle et qui plus ai, il ne dure que très rarement. Le temps d'une étincelle, d'un je t'aime et tout s'envole comme si jamais rien n'avait existé. C'est ce qui se passe pour ma mère qui vit s'éloigner son mari sans pouvoir le retenir et qui, pis encore, accepta la sentence s'en tenter de se battre. Je ne sais véritablement quand à commencé le début de la guerre. Cependant je me souviens très nettement du premier jour où j'assistais à une première dispute. J'avais alors 11ans et ma mère venait tout juste d'accoucher de sa deuxième fille. Ange. Un petit cadeau tombé du ciel que, je le su plus tard ma mère appela Ange par dépit envers son mari.

Mon père m'avait alors emmené à l'hôpital à fin de voir ce nouveau bout de femme qu'était ma petite sœur. Nous étions tout juste réuni que mon père chuchota quelque chose à ma mère, une chose qui mit ses nerfs à bout et pour la première fois la fit éclater en sanglot avant que toute sa colère, aussi violente qu'une véritable tempête ne se déverse sur Marc. C'est ainsi que mes petites oreilles d'enfants entendirent les multiples tromperies de mon père, ses actes de violence répété envers ma mère qui l'éreintait chaque jour un peu plus. Bien sûr, j'étais trop jeune encore pour comprendre clairement ce que cela voulait dire cependant, je compris au visage de ma mère et au visage de mon père et que nos années de bonheur était belle et bien terminées.

Deux semaines s'écoulèrent ensuite, deux semaines ou les sourires de ma mère ne venaient plus enchanté mes nuits, deux semaines ou la petit Ange avait prit toute la place dans le cœur de Jane si bien que je me devais de m'occuper de la petite Jade qui atteignait tout juste ses 7ans. La petite elle non plus ne comprenais rien et je tentais en vain de la rassurer, lui expliquant que maman était fatiguée et qu'elle avait besoin d'un peu de repos pour elle et pour s'occuper de la petite Ange.
Deux semaines longue, terrible et teinté de désespoir lorsqu'enfin, un soir où je m'étais endormis, ma petite sœur tendrement enfouit dans mes bras, ma mère vint nous réveiller. Je ne compris pas de suite les causes d'une telle hâte et seul les mots :'partir', 'fuir'. Revenait sans cesse dans son discours haché et tremblotant. Se fut également la première fois que je la vis pleurer.

Nous sommes partir. Rassemblant nos affaires et un peu d'argent que ma mère mettait de côté depuis un certain temps nous avons prit l'espace que nous avait acheté mon père avant de fuir à toute vitesse. Je mis bien deux heures avant d'oser demander quoi que se soit à ma mère si bien que nous étions déjà bien loin de Londres nous rendant dans un lieu que je ne connaissais pas et ne voulais pas connaître. Pourquoi partir ? Pourquoi quitter une ville que j'aimais ? Pourquoi dire adieu à tous mes amis, fuir notre maison, notre vie entière ?

«Où est papa ?»

Une cascade de larmes répondit à cette question et ma mère fut saisit de tremblement si fort qu'elle du s'arrêter sur le côté de la route afin de reprendre son souffle et de recouvrer ses esprits.
Papa est partie me dit-elle ensuite, il nous a abandonné, a vendu la maison et nous a forcé à fuir.
Des paroles atroces, que je ne voulais pas entendre, que je ne voulais pas croire et pourtant. Pourtant tout était vrai. Renfrogné mais acceptant cette idée je braquais alors mon regard sur le pare-brise fixant l'horizon d'un regard qui se teinta à jamais d'une froideur incroyable.
Nous, nous rendions à Forks, petite ville sans âme elle était sans cesse recouverte d'un épais manteau de nuage noir si bien que le soleil ne perçait que très rarement. Un temps qui me collait à la peau et qui s'accordait parfaitement avec mon caractère qui devint plus sombre d'année en année.
Nous avions tout perdu, notre vie, notre bonheur, jusqu'à notre identité même et, si ma mère s'accrochait à ses souvenirs et à son nom, unique preuve d'un amour passé je ne pouvais que désirer tourner la page. Nous avions vendu la voiture, ma mère avait reprit le travail jusqu'à mes 16ans où elle tomba brusquement malade. Dépression et épuisement avait dit le docteur alors que je me devais de devenir l'homme de la maison. Un an s'écoula. Un an de misère où je ne cessais de courir entre boulots, lycée et maison. Et aujourd'hui, aujourd'hui nous, nous en sortons un minimum. Jade a à présent 13ans tandis que la petite Ange atteindra ses 4ans cette hiver. Une famille complète mais loin d'être heureuse et si ma mère va un peu mieux qu'avant je sens la menace pesée sur son doux visage qui n'ai plus ce qui n'était. Le docteur c'est trompé, ce n'était pas la dépression qui la guettait mais bien le désespoir, le renoncement à toutes choses et je guète aujourd'hui le jour où elle lâchera totalement prise.
En attendant, je continue de travailler tentant de concilier étude et travail sans réel succès. C'est bien simple, ma vie est un véritable chaos si bien que je ne prête plus aucune attention à ce qui se passe autour de moi. Sans doute ai-ce pour cela que j'ai fait l'impasse sur la venue d'une nouvelle famille. On les appelle les Cullen et bien qu'il soit tous les jours dans mon lycée je n'y prête aucune attention. Toujours dans mon monde à chercher des solutions là où il n'y en a pas. Toujours à chercher des réponses qui n'existe pas et à me faire du soucis pour ma famille. Et pourtant, je continue d'avancer, car c'est la seule chose qu'il me reste à faire : suivre mon chemin et... Avancer.

Messages : 30 Date d'inscription : 01/09/2009

Bienvenue chéri
EXPLDRR xDD

Va faire ta fiche toi ! Nan mais OH !
xD.
Sinon eu, merci.

Messages : 30 Date d'inscription : 01/09/2009

Expldrr je vais aller la faire, je vais aller la faire t'inquiètes Razz

Pis oublie pas que je t'ai dit qu'on donne JAMAIS d'ordre à Rebecca Silver !
Expldrr j'arrête de flooder ptdrr je vais plutôt aller faire ma présentation Razz