Nouveau rapprochement (PV Bella)

Après avoir passer une grande partie de la nuit à chasser, j'étais rentré la maison me changer pour le lycée où j'avais décider d'aller postuler pour faire partie du journal du lycée. Il fallait bien qu'ont se comporte comme des humains non? Bon d'accord se n'était pas la vraie raison et Alice connaissait la réponse mieux que personne, je dois dire qu'après nos discutions et ses visons, elle m'avait aider à comprendre les nouveaux sentiments que je ressentais depuis quelque temps même si j'avais eut du mal à l'accepter au début mais je n'avais pas le choix. Je pouvais encore essayer de me battre contre cela pendant des semaines, des mois cela ne changerais rien du tout à mes sentiments pour Bella.

Elle m'avait montré ses visions et m'avait mis devant le faite accomplis et me fis prendre conscience de mes sentiments pour elle. J'étais amoureux de Bella et je ne pouvais rien y faire. J'avais essayé de partir mais je ne pu rester loin d'elle plus d'une journée. Être loin d'elle et bien c'était comme si un vide immense m'avait envahis , je me sentais sans vie enfin je me comprenais et se manque si horrible qui m'habituer...Je n'avais pu le supporter que quelques heures et ce sentiment m'avais complètement déstabiliser c'est là que je me suis rendu à l'évidence que je ne pouvais vivre sans elle, loin d'elle. J'avais une confiance aveugle en Alice, elle était la seule qui me comprenait, qui me soutenait. Nous avions toujours eut une complicité que je n'avais pas avec Rosalie ou Emmet et même Jasper. Est-ce parce que nous partagions un moyen de communication spécial?

Jamais je n'avais ressentis ça pour quelqu'un bien que je lisais assez bien de livre et que je pouvais ressentir se que les couples ressentes là se que je ressent pour Bella n'avait rien avoir avec ce que j'avais pu ressentir à travers les autres couples qui m'entourer. Elle était devenue mon univers, elle habitait mes pensés. Est-ce qu'un coeur mort pouvais battre à nouveau? Là était la question que je me posais chaque jours mais ce n'était avec se qui me rendait le plus triste c'est qu'elle était humaine et moi un vampire donc elle ne pouvait pas m'aimer...Comment pourrait-elle aimer un être froid, dur comme de la pierre et un coeur sans vie?

Je montais dans ma voiture sans arrêter de penser à Bella et à notre non avenir qui ne pourrait jamais être alors je pouvais me permettre de m'octroyer un peu de bonheur en imaginant se que ça pourrait être de sentir son souffle sur moi, prendre sa main dans la mienne, toucher ses lèvres du bout de mes doigts...Mais je ne pouvais penser à cela parce que je risquais de la blesser même si je savais que non mais je suis un vampire. Dans notre famille, nous voulions tous redevenir humain mais à se moment précis j'aurais donner tout se que je pouvais pour le redevenir même à brûler pendant des semaines juste pour redevenir humain et pouvoir espérer être avec elle. J'étais d'un égoïsme démesuré et je le savais mais je en pouvais me résoudre de la quitter ou même de m'éloigner d'elle et même de lui adresser la parole.

Jamais je n'aurais cru un jour pouvoir aimer autant une personne vu que jamais je n'avais envisager cela que se soit chez les humains ou quelqu'un de mon espèce mais quand Bella est entrée dans ma vie tout est devenu étrange, ces sentiments bizarre qui m'envahissait mais aussi cette colère quand elle se faisait courtiser par un des garçons du lycée et je dois dire que j'avais eu du mal à mettre un nom sur ce sentiment et quand finalement j'avais réussis à y mettre un nom je fus décontenancer de m'apercevoir que j'étais jaloux d'eux, jaloux qu'ils puissent lui parler, être avec elle et qu'un jours c'est à l'un deux qu'elle dirait oui avec qui elle ferait ça vie. Jamais elle ne me dirait oui, jamais je n'aurais la chance de vivre le bonheur qu'elle donnera à l'homme qu'elle choisira, la chance qu'il aura de l'avoir dans sa vie, d'avoir son amour...Cela me rendais de nouveau triste de penser comme cela.

J'arrivais au lycée et me diriger vers le journal où Bella est la rédactrice maintenant vous savez pourquoi je tenais à en faire partie. J'arrivais devant la porte et il n'y avait aucun bruit, personne, aucune pensées ne filtrer de cette pièce mais je sentais l'odeur de Bella et surtout j'entendais le merveilleux bruit des battements de son coeur. Je frappais à la porte et j'eus le plaisir d'entendre sa voix, si douce, si belle enfin bref je rentrais dans la pièce avec un immense sourire et m'avancer devant son bureau sans perdre mon sourire.

Excuse moi, je ne souhaites te déranger mais j'ai vu l'annonce de recrutement alors je suis venu poser ma candidature.

Je ne la quittais pas du regard mais je faisais attention à se que je faisais parce que je ne voulais pas qu'elle soit encore malade comme la première fois où nous nous étions parler. Je lisais chacun de ses articles et je trouvais ça façon d'écrire incroyablement magnifique, elle a un style bien à elle et pour dire vrai je tenais chacun d'eux. Je voulais vraiment faire partie du journal, être près d'elle et l'aider au journal aussi et puis je ne sortais pas les week-end enfin juste pour chasser mais avec la vitesse que je tapais, il n'y aurait aucun problème là dessus. Je revenais à l'instant présent et admirer sa beauté que aucunes autres ne pouvaient égalés. Je m'autorisais à respirer par le nez pour m'habituer à son odeur et à la brûlure que cela provoquer en moi parce que si je voulais rester près d'elle, je devais m'y habituer.

Il était tôt ce matin la, assez tôt lorsque je finis par m'éveiller. J'étais essoufflé, tremblante ainsi qu'en suer. J'avais fais un rêve étrange, disons plutôt un cauchemars, une nuit très sombre, sans éclat de la lune, le son de vagues qui ébranlaient la côte, et moi seule sur cette falaise qui dominait tout. J'étais devant, en tenue légère, une robe simple blanche étrangement et je faisais le saut de l'ange. Ce n'était pas cela qui m'avait éveillé, le faite que je saute, c'était plutôt l'impression de le vivre réellement.

Je m'éveillais donc et m'assis dans mon lit. Mon soufflé était cours, coupé, haché et je tentais de reprendre mes esprits. Me laissant balancer dans mon lit et mettant ma tête entre mes jambes je tentais de me calmer et de me dire que ce n'était qu'un mauvais songe. Lorsque je finis par me reprendre, après un long moment de solitude et de noirceur, je finis par regarder le cadrant qui me signifias qu'il n'était que 3 heures du matin. Je sortis du lit pour m'avancer près de ma fenêtre. Étant encore chancelante, je me repris plus d'une fois pour me pas tomber. La nuit était paisible et je sentais le vent frais fouetter mon visage. J'esquissais un sourire léger mais dénuer de sens et de bonheur surtout. Je restais ainsi un moment, guettant le jour arriver mais rien. Je finis par perdre patience et j'envisageais d'aller me doucher.

Allant dans la salle de bain, je fis couler de l'eau brûlante avant de me dévêtir. J'aimais cette sensation de chaleur sur ma peau, mes membres s'endormaient et je finis par être recroquevillé dans la cabine de douche a terre. Enroulant mes bras autour de mes jambes je fermais les yeux et laissais couler cette eau brûlante qui me faisais perdre mes esprits. Ce qui était sans doute le but. Je finis par sortir de l'eau, c'était légèrement amorphe et je marchais doucement jusqu'à ma chambre avec ma serviette de bain. Je laissais mes cheveux tracés des chemins comme des rivières sur ma peau et je m'assis sur mon lit. Je restais encore une fois ainsi un moment pour finir par regarder le cadran pour voir 4HOO du matin.

Je décidais de me sécher et de me vêtir n'ayant rien d'autre a faire. Je retournais dans la salle de bain, le silence ce faisait trop pesant, heureusement je mis le sèche cheveux en marche et j'entendis des pas dans la maison. Je ne sais pourquoi j'eus un soupir de soulagement, surtout en sachant que c'était Charlie qui était debout et qu'il devait trainer une peine comme tout les jours. Pourtant j'étais ravi de ne me savoir seule...

Finissant de sécher mes cheveux, j'allais dans ma chambre pour ouvrir cette vielle armoire qui datait de l'enfance de ma mère. Elle m'en avait parler plus d'une fois, et par une colère noir contre elle, un jour j'avais brisé le miroir qui figurait feu dessus. Je regardais dedans, cherchant quelque chose de potable...
Je pris une chemise a carreaux, je mis un T-shirt bleu dessous et un jean noir. Je m'attachais les cheveux pour avoir une queue de cheval et je descendais les escaliers, deux a deux.

Je terminais a la cuisine ou Charlie figurait devant le plan de travail. Ma mère ayant encore découcher je savais qu'il n'allait pas fort. Je lui esquissais un sourire, emplis de peine et de soutiens. Je pris un bol et je versais des céréales. N'ayant le temps de me retourner Charlie était parti pour son travail. Je soupirais encore, sachant que la journée débutait mal. Je pris mon coupe vent et je filais avec pas mal d'avance au lycée. Pourquoi? Je ne souhaitais rester dans cette demeure sans vie, et empli de tristesse. J'arrivais au lycée pour aller au journal. C'était la journée au nous recrutions du monde, car c'était la rentrée et généralement c'était les dernières années qui travaillaient ici a mon grand désespoir.

N'ayant encore personne a cette heure de la journée je commençais a songer a des idées de futurs articles, mais rien de bien convainquant. Je soupirais encore lorsqu'on frappa a la porte. J'étais surprise car je trouvais qu'il était tôt et je fus étonnement surprise lorsque je le vis entrer. Sa voix était douce, tendre et poser. Je lui esquissais un sourire, aller savoir pourquoi et mon cœur s'emballa étrangement.

Hum, oui bien sur... Et bien... Hum, je vais être franche, tu sais personne ne veut vraiment faire partie du journal malheureusement alors je veux bien te prendre tout de suite.

Je lui fis encore un sourire, mais triste, et je regardais autour de nous. Personne c'était déconcertant. Je me demandais pourquoi il y avait encore un journal ici.

J'entendais son coeur s'emballer et sur le moment je me suis permis d'espérer qu'elle était un temps sois peu attirée par moi et que peut-être qu'elle ressentait quelque chose pour moi enfin est-ce que je voulais qu'elle ressente cela pour moi? Égoïstement je dirais oui mais pour son bien se serait non mais la partie la plus noble de moi même réfuter cela parce que j'avais envie qu'elle ressente cela pour moi. Je me mis à me demander si elle y avait déjà songer ou si elle ressentais juste un peu de se que je ressens pour elle...

Mes pensées allèrent plus loin encore en allant m'imaginer la tenant dans mes bras, sentir sa chaleur contre moi, tracer ses lèvres du bout de mes doigts ou encore pencher mon visage vers le sien et sentir son souffle sur mon visage, repousser une de ses mèches de cheveux pour mieux voir son sublime visage d'ange...Je ne devais pas penser ainsi mais je n'arrivais pas mais je ne pouvais pas mis résoudre. Tous cela me frustré encore plus que de ne pas lire dans ses pensées même si depuis le temps j'arrivais plus ou moins à les déchiffrés sur ces traits si magnifiquement dessiné ainsi que dans ses magnifiques yeux chocolat dans lesquelles je me cessais de me noyer.

Je revenais à l'instant présent, je ne la quittais du regard tout en écoutant ça voix mélodieuse me parler. Je ressentis de la peine en voyant son expression et je n'avais qu'une envie lui dire que ça aller s'arranger et la prendre dans mes bras mais je ne pouvais pas...Je devais lui répondre et laisser à nouveau la brûlure m'envahir. Si seulement cela ne pouvait être qu'une brûlure, et rien d'autre. Mais il n'y avait pas seulement que cela, le venin emplis ma bouche et là mes muscles se bandèrent comme quand j'allais chasser. Je n'allais pas chasser alors je me devais de ne pas penser à ça, alors je chassais ces pensés et me distraire et je savais se qui me distrairait.

Et bien c'est avec plaisir. Je suis vraiment ravi de faire parti du journal.

Je lui rendis son sourire qui se voulait réconfortant. Je n'aimais pas la voir triste et j'avais que une envie qui était de la réconforter mais par quel moyen? Je ne pouvais la prendre dans mes bras, elle trouverait ça bizarre et puis avec la température de mon corps...J'allais essayer de trouver des mots qui la réconforterait un peu même si je n'avais pas l'habitude de faire cela mais depuis que je l'avais rencontré mes émotions humaines revenaient de plus en plus et encore plus en ça présence.

Je pense que le journal n'a rien avoir là dedans parce que c'est la rentrée et puis il y a aussi les sorties le week-end alors ne pense pas comme cela.

Je lui fis un tendre sourire. Je déposais la lettre de recommandation et placer mes mains dessus Cette lettre de recommandation que m'avait fait Alice au cas où j'en aurais besoin. Alice était la seule à me soutenir et je savais que je pourrais toujours compter sur elle. J'avais vu ces visions qui au début ne m'avais guerre plus mais je devais me rendre à l'évidence comme elle me l'avait dit tout comme elle avait eu raison sur le faire que je ne pourrais m'éloigner de Bella.

Mon regard fus attirer par son T-shirt bleu que l'ont pouvaient apercevoir et je dois dire que ce bleu se marier merveilleusement avec la couleur de sa peau et de ses yeux. J'avais très envie de lui dire mais elle me prendrait pour un fou et puis je ne devais penser à elle ainsi. Je détournais vite le regard pour ne pas qu'elle remarque où il était dirigé. Je les portais à mes mains que je haïssais par sa dureté, sa froideur ainsi que de leurs forces qui m'empêcher de pourvoir la toucher. J'étais un montre, un vampire et je ne pouvais la toucher. Même si je savais que je contrôlerais ma force je ne voulais pas voir le dégoût que cela provoquerait quand elle toucherait ma peau. Que lui dirais-je si cela venais à arriver? Alors ne t'inquiète pas c'est normal je suis un monstre enfin un vampire...? Soudains je me demandais si elle savait que les vampires existaient vu qu'elle passait pas mal de temps à la Push et qu'elle partageait leurs secrets auquel elle avait très bien réagis alors je me mis à éspère que si elle connaissait mon secret elle ferait de même mais la différence était là, les loups sont chauds quand à moi j'étais froids et je pouvais la blessée ou la tuer par accident en faisant un simple faux mouvement. Je les haïssais encore plus maintenant et une douleur atroce m'envahis à se moment. Est-ce qu'un coeur mort pouvait être briser? Je le pensais. Un humain ne pourrait survivre à une telle souffrance, à une telle douleur si profonde, si puissante que j'en eus le souffle couper.

Il fallait que je lui parle, que je chasse cette douleur, cette tristesse qui m'avait envahis sans me prévenir. Je relevais la tête et me demander si elle avait remarquer le changement en moi? Je secouais la tête et plonger dans son sublime regard. J'utilisais ma vois la plus tendre et la plus douce, je ne voulais pas qu'elle aie peur de moi comme il y a quelque semaine. J'allais essayé d'être quelqu'un de bien pour elle, en qui elle pourrait avoir confiance.

Alors dit moi, quand dois-je commençais? Quand dois paraître la première édition?

Je lui dis ces mots avec un petit sourire dans la voix. J'avais vraiment hâte de commencer à travailler avec elle, connaître son style et passer du temps avec elle et pouvoir mieux la connaître. Son mutisme mentale me frustrer toujours mais je mis habituer avec le temps en essayant de lire dans les profondeurs de ses yeux mais plus de temps je passerais avec elle, plus ses pensées me seront facile à deviner enfin je l'éspérais.

J'avais moins de mal avec Edward, je voulais dire par rapport a l'attraction qu'il avait sur moi. Je me sentais moins attirer par ses yeux, peut être parce que j'évitais soigneusement de le regarder. En même temps comment ne pas regarder ce visage d'ange destructeur? Je ne pouvais que lui rendre son sourire, il me faisait sourire et près de lui j'entrais dans notre bulle. Une bulle si réconfortante, c'était si simple de vivre a l'intérieur, j'aurais aimé ne jamais le quitter... Mais je ne devais pas penser a cela et profiter plutôt du temps qu'il me réservait, parce qu'il faut bien le dire il ne parlait a quasiment personne, sauf a moi bizarrement.

Je sentis mon cœur battre de plus belle et la chaleur me monter aux joues, mais cela m'importait peu. j'étais près de lui, et mon cœur se réchauffait, j'étais comme une noyer sur le rivage qui reprenait son souffle et qui recouvrait ses sens. Je dois dire que c'était plutôt moi qui étais heureuse de l'avoir au journal. Évidement je ne savais comment il rédigeais mais sa façon de parler m'indiquais déjà qu'il parlait le vieux français, donc qu'il savait manier notre langue.

C'est moi qui est heureuse de t'avoir Edward.

Je me mordis la lèvre inférieur en lui disant cela. Il déposa sa lettre de recommandation, écrite par sa merveilleuse sœur avec qui j'avais eus l'occasion de parler et que j'aimais beaucoup je dois affirmer. Je le vis me scruter, mon regard tomba dans le sien, j'étais prise comme la dernière fois mais cela ne me dérangeais plus, bien que je me rendis compte que je ne respirais plus c'est alors qu'il me lâcha et je repris mon souffle. Je déposais mon regard sur le bureau pour recouvrer mes esprits et je pris délicatement sa lettre de recommandation. J'eus un léger rire, c'était si bien écrit, j'étais certaine de n'avoir besoin de la lire alors je la rangeais dans mon cahier sortis pour rédiger des idées d'article. Il tenta de me rassurer sur le faite qu'il n'y avait guère de monde qui se bousculait pour faire parti du journal, il était bien gentil, encore une fois, bêtement même je lui souris.

C'est très gentil de ta part Edward, mais je ne me voile pas la face, et puis je n'ai rien a faire généralement les week-end... En ce moment, et puis enfin, je dois rester a la maison avec Charlie...

Pourquoi me mettais-je a lui compter ma vie? Je ne savais... Mais j'étais heureuse et sereine dans cette bulle magique avec lui. J'étais comme sans danger, je lui faisait entièrement confiance, je pouvais lui confier ma vie. Je ne sais pourquoi je me sentais avec une tel confiance près de lui mais cela me faisais énormément de bien. Il me demanda ce qu'il pouvait faire et quand commencer... J'aurais bien besoin de lui tout de suite, rien que pour me sentir bien! Bêtement je lui répondis tout de suite.

Maintenant, enfin... je ne commence pas avant un moment les cours alors... A moins que tu es cours? Mais le journal doit paraître dans les deux prochain jours et je n'ai absolument aucune idée de quoi je vais bien parler...

Je lui fis un léger sourire et j'approchais une autre chaise de moi en lui faisant signe de venir s'y assoir. Allait-il venir près de moi? S'éloigner? Aller en cours, ou déplacer sa chaise? Trop de questions fusaient dans ma tête, même si j'espérais qu'il reste près de moi.

Nous étions que tout les deux et certains membres de ma famille auraient trouver ça dangereux mais je savais que je ne lui ferais parce que j'avais changer, l'amour que j'éprouvais pour elle m'avais changer et rendu à néant le monstre en moi qui dominer ma soif d'elle. Une autre soif avait pris le dessus, une soif don j'avais pris conscience il y a peu grâce à Alice parce que je me refusais de l'accepter. Quel destin pouvais-je lui offrir si ce n'est un destin funeste...Mais elle ne partageait pas encore mes sentiments même si Alice m'avait dit que cela arriverait très vite et qu'elle partagerait mes sentiments. Le bon côté ne voulais pas qu'elle ressente de l'amour pour moi mais la partie la moins noble de moi même le voulais plus que tout même si cela devait mal se finir mais j'avais un contrôle de moi que je ne me pensais jamais capable.
Quand je voyais Carlisle à l'hôpital devant tout se sang et ne perdre son sang froid, garder la maîtrise de lui même comme aucun vampire n'en était capable. L'amour est plus fort que tout, plus fort que l'appelle du sang et de la soif qui faisait rage. Je l'aimais plus que tout au monde et je savais que je l'aimerais pour l'éternité.

En presque cent ans d'existence jamais je n'aurais penser ressentir un amour aussi fort pour quelqu'un surtout pour une humaine qui de plus est a le sang le plus doux, le plus alléchant pour moi et j'en étais tomber amoureux. Que ironie du sort pour cette fille d'avoir un vampire, un monstre amoureux d'elle qui la conduirai vers le plus horrible des destins. Je fus triste à nouveau en pensant à cela. Quand je regardais Esmée et Carlisle et leurs amours ainsi que tout se qu'ils partagent je dois avouer que je les envie maintenant, ils pouvaient être ensemble, se toucher, se dire qu'ils s'aiment...Je ne me voyais pas regarder Bella et lui dire "Salut Bella, comment tu vas? Au faite je suis fou amoureux de toi" Elle allait me prendre pour un fou et partirai en courant avant même de savoir se que je suis en réalité et si elle viendrait à le savoir elle s'enfuirait en hurlant.. Est-ce qu'un coeur mort pouvait se briser? Il le pouvait et cette souffrance me coupa le souffle.

Elle commença à me parler, à se confier ce qui me fis de nouveau espérer mais je ne le devais pas, je ne le pouvais pas mais j'étais assez égoïste pour espérer qu'elle m'aime se ne fusse qu'un peu. Je repensais au jours où je l'avais ramener chez elle et où mes doigts avaient frôler son visage mais elle était déjà endormie et je doute qu'elle aie senti cela. Je n'oublierais jamais ce que j'ai ressentis à se moment là, mes doigts c'étaient réchauffer sous la chaleur de sa peau et des sensations étranges ont parcouru mon enveloppe charnelle bien évidement je n'avais pas mis de mot tout de suite sur ses émotions, sur se que j'avais pu ressentir mais maintenant je pouvais revivre la scène, cette sensation autant que je le voulais et pouvais savourer ces émotions et les vivres pleinement même si elles faisaient souffrir mais j'en savourerais chaque seconde. Je revenais à l'instant présent en entendant sa merveilleuse voix me parler et j'eus un léger fou rire que je ne pouvais comptenir.

Je peux commencer tout de suite vu que nous avons science nat tout les deux, donc je suis ton homme enfin je suis à tes ordres...Quand au sujet dont on pourrait parler et bien je pense que je pourrais t'aider à voir ça ensemble enfin si tu es d'accord?

Elle me fis un sourire et me fit signe d'aller m'asseoir à coté d'elle. Deux personnes en moi se battaient pour savoir si oui ou non j'allais m'asseoir à son coté mais il y avait pleins de chose à prendre en compte mais mon coté égoïste en avais horriblement envie même si le danger était là je savais que je serais contenir ma soif mais il y avait une soif don je n'étais pas sur de pouvoir contenir. Tout se bâter en moi mais puisque je suis vouer aux enfers autant profiter du voyage avec application. Respirant profondément, je me levais de ma chaise et alla m'installer près d'elle. La chaleur qui émaner de son corps irradier tout le coté gauche de mon corps. Il fallait que je m'habitue à son odeur et respirer profondément par le nez et sentis la brûlure envahir ma gorge mais si je voulais rester près d'elle, je devais supporter cette brûlure et à force elle n'aurait plus une aussi grande emprise sur moi. Elle avait déjà rendu à néant le monstre en moi alors je pouvais combattre cette brûlure, la rendre moins puissante ainsi j'aurais le bonheur, la chance de profiter de chaque instant, chaque moment avec elle qui m'était donner.

Jamais je ne pourrais lui offrir la vie qu'elle méritais, jamais je ne pourrais lui donner ce qu'un homme humain pourrait lui donner dans une relation amoureuse normal. Vous me direz quel relation amoureuse est normal? Mais au moins il ne voulait pas la tuer en permanence enfin attirer par son sang, l'odeur qui émaner d'elle...J'imaginais le jour où elle rencontrait quelqu'un, celui à qui elle dirait oui et une fureur en moi fit rage parce que j'étais jaloux de celui à qui elle dirait oui qui aurait la chance de partager sa vie, d'avoir son amour même si il ne lui arriverait jamais à la hauteur parce que elle méritait tellement de chose, elle méritait un bonheur immense. Elle avait la plus belle âme que je n'avais jamais vu et je ne voulais qu'elle la perde à cause de moi, à cause de se que je suis.

Je me tournais vers elle et plonger dans son regard chocolat pendant quelque secondes. Nous ne pouvions nous quitter du regard et soudain une intensité électrique fis rage entre nous comme si nous étions dans une bulle, comme si il n'y avait que nous au monde. Je mourais d'envie de la toucher, cette force, cette électricité qui nous envahissez me submergea de désir pour elle, de sentir la douceur de sa peau entre mes mains et juste lui prendre la main mais je ne pourrais pas parce que j'avais la peau froide et si elle sentait cette froideur, cette dureté elle serait dégoutté et rien que de penser à se que serait sa réaction rien qu'au toucher de ma main sur la sienne. Je ne m'étais pas rendu compte que ma main c'était rapprocher de la sienne, j'avais très envie de la toucher mais je ne le pouvais pas mais si je la retirais trop brutalement elle le prendrait mal et penserait que cela venait d'elle se qui n'est pas le cas. Je voulais tellement pouvoir lui offrir tout ça mais je ne le pouvais pas. Je baissais la tête pour cacher l'émotion qui m'envahissez en se moment, ma tristesse...

Je continuais de regarder Edward en me demandant si il allait venir s'asssoir ou pas. Soudainement je me sentais stupide de lui avoir demander. Il était étrange, au début on aurait dit qu'il désirait plus que tout me voir morte, mais à présent il était d'une délicatesse incroyable et a l'écoute. Je me souvenais encore du jour ou il m'avait ramener a la maison, parce que je me sentais mal. D'ailleurs j'avais été malade durant cinq jours et je n'avais pas l'habitude d'être malade et cloué au lit. D'après le médecin j'étais une des premières a avoir eus la grippe, mais je ne risquais plus de l'avoir, du moins je l'espérais. M'aimant pas être malade et encore moins prendre des médicaments, je prenais soin d'être toujorus couverte et d'avoir chaud. D'ailleurs ma chemise a carreaux me tenait chaud et heureusement j'avais mis un t-shirt dessous.

Je me mordis légèrement la lèvre inférieur et je regardais à présent la table lorsque Edward se décida a venir s'assoir a mes côtés. Il me dis qu'il n'avait pas encore cours, du moins pas avant le cours de biologie que nous partagions ensemble. Par ailleurs nous partagions la même table, nous étions donc voisin de paillasse. Je lui fis un léger sourire lorsqu'il se mis près de moi. Je ne savais trop quoi dire ou faire heureusement il m'avait parler avant et je me concentrais pour trouver une réponse ...
Je dois dire que j'avais des difficultés a me concentrer en sa présence étrangement. Je n'étais pas de ses filles qui "se faisaient dessus" lorsqu'un garçon leur plaisait, d'ailleurs je ne savais pas trop si Edward me plaisais... disons plutôt qu'il me fascinait, ou plutôt que j'étais dans un bulle lorsque j'étais près de lui et que cette bulle me réconfortais, je sortais de mon mal être habituel.

Je réfléchis en tentants de former une phrase avec des mots mais cela me venait difficilement... Je décidais donc de regarder devant moi pour me pas faire face a ce visage d'ange destructeur.

Hum... oui tu pourrais m'aider je n'ai vraiment pas d'idée d'article en réalité... Je ne sais pas trop... Enfin... tu vois je... c'est... en faite...

Je me sentais idiote et je devenais de plus en plus rouge et je rabattais mes cheveux devant moi pour ne pas qu'il le remarque. Étrangement j'étais inévitablement attirer par son visage d'ange et donc je finis par le regarder. Mes yeux noisettes ce plongèrent dans ses prunelles d'une couleur miel qui me fis frémir. Je m'accrochais a son regard qui me détruisait mais a la fois je ne voulais qu'une chose, me noyer dans celui-ci. Je senti de l'électricité passer entre nous, je me sentais un peu faible lorsqu'il défit encore se lien et baissant le regard. Je me sentais essoufflé, je tentais de me ressaisir... Lorsque je vis qu'il s'était rapprocher de moi. Étrangement cela ne me gênais pas bien au contraire et je devais encore plus rouge. L'envie de toucher sa main me hantais... Il me prendrais sans doute pour une folle... Je soupirais et je vis son visage, fermé et triste, je me demandais ce qu'il pouvait bien avoir.

Edward ça ne vas pas?

J'hésitais a poser ma main sur la sienne... Je la rapprochais doucement... Et je me mordis la lèvre. Il allait prendre la fuite et me prendre aussi pour une folle. Je déposais donc celle-ci sur ma cuisse et le regardant... En attente d'une réponse.

Elle s'inquiétait pour moi, elle voulait savoir pourquoi j'étais triste mais je ne pouvais lui dire la vérité et la voir s'enfuir ainsi que de plus jamais la revoir? Non je ne le pouvais. Je ne pouvais risquer de la perdre même si je savais que je ne pourrais la toucher ou même envisager un nous même si Alice l'avait vu et que cela m'avait remplis d'un bonheur intense, un sentiment que jamais je n'avais ressentis sauf en lisant les pensées des couples que je rencontrais ou dans les livres mais le vivre était tout autre chose. Mon coeur était de nouveau en vie, il vivait et battait pour elle pour l'éternité qui m'était offert. Je repensais soudain au jours où j'avais eut cette discussion avec Alice, au moment où j'avais eut envie de partir courir pour me sentir libre, de réfléchir mais je m'étais retrouvais devant chez elle et j'avais grimper à sa fenêtre et je l'avais regarder dormir pendant un moment et c'est là que je me suis aperçu qu'elle parlait dans son sommeil et c'est à ce moment là qu'elle a prononcer mon nom. J'avais l'impression que mon coeur c'était mis à battre pour la première fois depuis plus de cent ans et cette sensation était merveilleuse à vivre jamais je n'aurais cru que cela aurait provoquer une telle sensation de plaisir et de bonheur en moi.

Je me permis juste un instant d'imaginer se que se serait de vivre cette histoire d'amour qu'Alice avait vu dans sa prémonition. Si seulement j'étais encore humain, je pourrais lui donner se don elle a besoin, se qu'un homme humain pourrais lui donner mais il y a une chose qu'un humain ne pouvait lui donner c'est l'amour que j'éprouve pour elle, un amour inconditionnelle que aucun humain ne pourrait éprouver pour elle. Même si mon coeur ne pouvait ne plus battre, j'avais l'impression qu'il était de nouveau en vie à depuis qu'elle était entrée dans ma vie, que j'avais accepter mes sentiments pour elle.

Je n'ai jamais connu l'amour avant maintenant même lorsque j'étais humain. Je ne savais comment agir même après avoir lu des centaines d'ouvrages là dessus mais j'avais quand même garder quelque brides de souvenir de ma vie d'humain et puis j'avais aussi les souvenirs que Carlisle avait garder de mes parents. Je me souvenais de l'amour qu'il éprouvait l'un pour l'autre par les lettres que m'avait remis Carlisle qui se trouver dans les affaires de mes parents c'est comme ça que je savais l'amour qui les unissaient. Mais je me rappelais surtout de l'amour que mes parents éprouvaient pour moi ainsi que le sacrifice qu'ils avaient fait pour me sauver de la grippe Espagnol. A se temps là, avoir des médicaments était un luxe qu'ont en pouvait s'offrir et ils s'en sont priver pour moi. Parfois je m'en voulais de les avoirs conduit à se choix mais Carlisle m'avait expliquer et montré les souhaits de mes parents et ces pour cela qu'il m'avait transformer. Lorsqu'il a transformé Esmée, il voulait que je trouve quelqu'un avec qui partager mon éternité c'est pour cela qu'il a décider de transformé Rosalie quand il l'avait trouver cette nuit là dans la rue noir, en sang. Quand j'avais compris pourquoi il avait fait cela, je lui étais reconnaissant mais Rosalie n'était pas le genre de femme pour qui j'aurais éprouver le moindre intérêt et c'est pour cela qu'elle et moi avions une relation si compliquée.

Penser à Rosalie me renvoyer à la transformation de Emmett. Rosalie avait demander à Carlisle de lui faire se cadeau, de le transformé pour elle parce qu'elle avait trouver en lui quelque chose qu'elle avait chercher depuis longtemps. Je me demandais si je pourrais demander un jours à mon père de me faire se cadeau, de transformé Bella pour moi, de la privée de son âme? Non je ne le pouvais pas même si je le voulais plus que tout. Je n'étais pas assez égoïste pour la privée de tout cela.

Disons que je pensais à une chose qui ma rendu triste mais tu es là alors tout va bien.

Je lui fis un tendre sourire. La panique commencer à monter quand je vis sa main se rapprocher de moi. J'avais envie qu'elle me touche mais j'avais peur de sa réaction, de se que la texture et la froideur de ma peau aller lui faire. Je me demandais si la prémonition de Alice allait se produire un jours, si Bella partageait mes sentiments envers elle et si elle me touchait comment elle réagirait. J'avais envie de savoir même si cela devait me blesser.

Comme sujet et bien j'avais penser que nous pourrions parler du régime alimentaire chez les adolescents? Enfin ce n'est qu'une idée bien sûr.

J'étais tellement bien près d'elle que je ne pouvais me résoudre à ne pas sourire, à ne pas la regarder et cette envie fulgurante de la touchée. "Non Edward tu ne peux pas" me dis-je à moi même mais mon moins bon côté ne voulait l'écouter et le mis de côté. Poussant soupire je passais ma main dans mes cheveux et déposer ma main près de son stylo. Je ne savais pourquoi j'avais fait cela, pourquoi ma main l'inviter à la toucher? Je la regardais et mes yeux se perdaient sur comment elle était vêtis et j'aimais beaucoup comment se bleu se marier avec ses yeux.

J'aime beaucoup comment se bleu fait ressortir tes yeux.

Mais qu'est-ce qui m'avait pris de lui dire cela? Elle allait me prendre pour un fou ou un pervers. Je ne la quittais du regard et assumer de le lui avoir dit. Je connaissais sa réaction, elle allait afficher une nouvelle fois ses magnifiques rougir. Je dois dire que j'aimais beaucoup voir ses rougeurs, le regard qu'elle allait me jeter qui allait sans aucun doute m'arracher un sourire ou même un éclat de rire.

Fascination, c'est ce que je ressentais pour Edward. Il me fascinait, pourquoi? Il était si mystérieux, si gentil et d'une beauté infini. Toute sa famille était ainsi je dois dire mais il n'y avait que lui pour me fasciner autant. Je soupirais, sa beauté me désarmais et je n'avais qu'une seule envie pouvoir le scruter encore et encore en sachant bien évidement que jamais je ne pourrais m'en lacer. Comment pouvais-je ressentir autant de sentiments pour ce jeune homme que je connaissais a peine? De la haine ou encore de la frustration le premier jour de notre rencontre, ce jour ou il m'avais regarder avec tant de froideur et de méchanceté que j'avais eus envie de l'étriper a mains nue ou encore de le tuer sur place. Mais ce jour aussi ou il avait été d'une délicatesse infini et m'avais rendu un immense service. J'étais mal, vraiment mal étant donné que j'étais malade et il avait été d'une douceur infini. Je fermais les yeux pour repenser a ce moment ou j'étais dans ses bras, ce moment ou un feu intense avait envie mon être. Je ne m'étais jamais senti heureuse et comblée que le jour ou il m'avait porté contre lui pour m'amener chez moi. C'était d'ailleurs ce jour ou pour la première fois il hantait mes songes, et d'ailleurs depuis ce jour je ne rêvais plus que de lui. Lui lançant un léger sourire je le regardais. J'étais peiné et je voulais savoir ce qui n'allait pas. Sa réponse fit écho dans mon être. Désirait-il me tuer? C'est bien la question que je me posais! Mon cœur s'emballa et je posais ma main contre ma poitrine de peur qu'il sorte de celle-ci! Je devenais aussi rouge qu'une tomate et je baissais le regard. Comment pouvait-il me dire cela? Était-ce un test? Je ne comprenais pas qu'il puisse me dire cela, il était bien près de moi. Mon cœur fit encore un bon a cette pensée et je me sentis soudainement nauséeuse.

Je tentais de me ressaisir et je repris ma respiration. Une question me tourmentais, que lui répondre après cela. Allais-je devenir encore plus rouge que je ne l'étais, allais-je encore me perdre dans son regard si splendide et a la fois destructeur? Dans ses prunelles d'un couleur or qui faisaient flanché mon cœur? La réponse se fit clair, oui je voulais me perdre dans ses prunelles, je désirais même qu'il me mette les fers et qu'il m'emprisonne a perpétuité dans son regard qui incendiait mon être. Jamais je ne m'étais senti aussi vivante qu'avec lui dans notre bulle.

Reste avec moi alors.

Lui répondis-je. Évidement je piquais un fard et mes joues s'enflammèrent, pas seulement mes joues, tout mon être. Je n'avais qu'une seule envie le toucher, lui dire que j'étais la pour lui quoi qu'il arrivait et je n'avais qu'une envie celle de sceller mes lèvres aux siennes. Bella qu'est ce qu'il t'arrive? Me demandais-je. Comment pouvait-il avoir autant d'effet et d'impact sur moi? La réponse était des plus évidente, je l'aimais voilà tout. J'étais éperdument amoureuse de cet homme qui me faisait tourné la tête, qui me faisait avoir tant de sentiments a son égard mais surtout qui me faisais sentir vivante. Je devais me ressaisir et me concentrer sur le travail au journal. Evidement je n'avais pas d'idée d'articles et comme toujours Edward avait des idées sur tout. J'eus un léger sourire et je le regardais dans ses prunelles qui me hélaient en permanence.

Je dois dire qu'un début je désirais faire un article sur vous, les nouveau. Mais je me suis dis que si c'était le cas inverse je n'aurais pas aimé qu'on en fasse un sur moi. Je voulais changé un peu tu comprends mais bon... Je te gardes pour moi.

J'eus un léger rire avant de me dire que j'avais été pathétique de dire cela. Non mais quelle idiote j'étais! Enfin... Je passais une main frénétiquement dans mes cheveux et je réfléchis. L'alimentation des jeunes était un sujet banal sans doute de trop... Je voulais quelque chose qui accroche, quelque chose de plus rechercher...

Ce n'est pas ça que j'avais a l'idée tu sais... Je voulais quelque chose de particulier... Mais c'est une bonne idée je ne dis pas que ... Mais tu vois enfin je sais pas trop comment l'expliquer...

Je regardais devant en tentant de me concentrer, mais a ses cotés c'était une tâche assez complexe! Je n'avais en plus de ça qu'une seule envie me perdre dans ses yeux! Stupide non? Bella recentre toi!!! Me dis-je. Je devais me concentrer au lieu de penser a ses yeux, son regard, ses sublimes lèvres qui avait l'air d'avoir un gout exquis... Je finis par sortir de mes rêveries lorsqu'il brisa le silence. Je devenais rouge et mon coeur éclata! Il sortit de mon thorax sans crie égard, il était parti rejoindre le siens pour s'adonner a un baiser furieux. Mais comment pouvait-il me dire cela? Je n'avais qu'une envie me jeter a son cou et l'embrasser! Tentation! C'est ce qu'il était a mes yeux, la pire tentation qu'on m'ai mis sous le nez! Comment y résister? Il allait me prendre pour une taré si je lui sautait dessus pour l'embrasser fiévreusement. Étrangement je sentis ma main se poser sur la jambe et je me rapprochais de lui... tout doucement... Qu'allais-je faire? Je n'avais plus de tenu et je n'avais qu'une seule envie sauter dans ses bras et unir nos lèvres dans un baiser passionné.

Cela ne faisait moins de une heure que nous étions seul dans cette pièce et cette intensité, cette envie de toucher ses lèvres douce, tendre et merveilleuse. Comment pouvait-elle être seule? Elle était la plus belle merveille non ma merveille. Elle éclairait mon existence qui était noir, sens vie où je me perdais, où rien n'avait d'importance mais ce n'était plus le cas maintenant que Bella était entrée dans sa vie, qu'elle m'offrait bonheur sans même le savoir.

Elle regardait devant, je ne pouvais plus lire dans son regard et cela me frustra. C'était le seul moyen pour moi de pouvoir lire en quelque sorte ses pensées qui me devenait plus facile à comprendre même si je préférerais pouvoir les lires. J'entendais son coeur s'affoler et je ne comprenais pas pourquoi au début mais ensuite je me souvenais du compliment que je venais de lui faire et cela me fit sourire mais je m'assurais qu'elle allait bien et que son coeur retrouve son rythme normal. Elle posa son regard sur moi de nouveau et je vis sa main se soulever et se poser sur ma jambe. Je regardais sa main sur ma jambe, elle devait sentir la froideur de mon corps et rien aucune réaction sauf son coeur qui bâter à tout rompre. De mon côté, ma respiration s'accéléra et devenez plus saccadé. Deux voix en moi se batailler. Que devais-je faire? Reculer et mettre de la distance entre nous ou suivre le moins bon coté de ma personne et laisser mon égoïsme agir et plonger sur ses sublimes rêve pour un tendre et doux baiser? Je ne savais quelle voix choisir, que faire...

Plongeant mon regard dans le sien, je voyais qu'elle en avait autant envie que moi mais comment allait-elle réagir à mon contacte? Et si elle se sauvait? J'essayais de combattre mon égoïsme mais je l'étais trop pour m'y résoudre. L'atmosphère de la pièce était assourdie par se désir qui émaner de nos corps et cela ne m'aider en aucun cas. Edward, ressaisi toi!!! me dis-je à moi même mais rien à faire ma main alla se placer dans le creux de son cou, ma respiration se fit plus saccader. M'approchant de plus en plus d'elle ma respiration s'accéléra tout comme la sienne, mon bon coté avait perdu cette bataille mais mon égoïsme, mon envie elle gagnait de plus en plus du terrain. J'approchais mes lèvres des siennes doucement, cette intensité était tellement forte, tellement présente c'est comme si nous étions seuls au monde, dans notre monde. Plongeant mon regard dans le sien nos lèvres finissent par s'unirent tendrement. La sensation de ses lèvres contre les miennes étaient inexplicable, c'était une sensation que jamais je ne croyais pouvoir ressentir. Jamais je n'avais vécu un telle bonheur. Mon autre main se posa de l'autre coté de son cou tout en profitant de se moment de bonheur.

Le temps jouait de moi, ou alors l'envie que j'avais de cette étreinte me fis songé que le temps était d'une durée indéterminée avant qu'Edward ne songe à la même chose que moi. Je sentis soudainement le rouge monté a mes joues, et si finalement il ne voulait pas la même chose que moi? Si il ne voulait pas de moi? Je me mordis la lèvre inférieur lorsque je sentis un froid envahir ma main. Je déposais mon regard sur celle-ci et je vis qu'elle était sur la jambe d'Edward, il avait donc la peau gelé et je pouvais le sentir au travers de son jean. Mon regard se posa dans le sien, il était interrogateur au début puis je me laissais vogué dans celui-ci. Plus rien ne comptait, je ne pouvais plus réfléchir, seul ses lèvres me hélaient encore et encore. J'avais du mal a garder mon regard dans le sien le portant plutôt sur ses sublimes lèvres qui me semblaient juteuse et d'une couleur rouge sanguine. Mon cœur s'accélérait de plus en plus a chaque seconde, sentir son souffle se heurter le fis battre encore plus fort, désirait-il la même chose au fond? Étions nous comme des animaux en chaleur? Ne désirions-nous que nous sauter au cou? N'y avait-il qu'une alchimie physique entre nous deux? Non, je ne le pensais guère, il y avait plus, je ressentais de la passion, de la tendresse de l'amour infini envers lui.

Soudainement je fus prise d'une peur, je n'avais jamais été tombé en amour, et si cela n'était pas son cas? Si lui n'était pas tombé en amour pour moi? Ces questions me torturaient, en plus j'avais l'impression qu'il ne s'était écoulé qu'une seconde depuis le geste que je dois affirmer de déplacer à présent que je lui avait fait. Je finis par rendre les armes et fermer mes prunelles noisettes, je voulais me perdre dans ses bras et dans notre baiser. Le laissant encore approcher de moi j'avais mon souffle de plus en plus court, saccader. Mais Edward qu'attends-tu? Me dis-je furieuse! Je commençais a croire qu'il se jouait de moi. Mais ses lèvres dur comme le marbre s'unirent avec les miennes, mon cœur battait a tout rompre et mes mains allèrent dans ses cheveux pour nous laisser nous débattre avec se fabuleux baiser.

Son corps était froid, ses lèvres dur comme de la pierre, son étreinte dur et maladroite mais c'était le plus beau moment de toute ma vie. Jamais je ne m'étais senti si bien que dans le creux de ses bras, que lorsque nos lèvres s'unirent ainsi. J'eus un raté et je me rendis compte que je n'avais pas respirer un moment. Mon souffle se fit cours et nous rompions ce fabuleux baiser. Mon visage était en feu, mon corps tremblait de passion a son égard et mon regard se posa dans le sien. Nous n'avions nullement besoin de mots pour nous comprendre, nous nous aimions.

Je fermais les yeux et repris mon souffle doucement, déposant les mains sur son torse gelé, le contact de sa peau m'incendiais le corps et l'esprit. J'étais dans les bras d'un Dieu, d'un ange au visage destructeur, mon ange. A présent j'étais hanter de questions, comment pouvait-il être aussi froid? Pourquoi sa peau était si dur, mais cela ne comptais pas pour le moment, seul notre étreinte, notre moment d'intimité, notre escapade dans notre bulle comptait. Je lui souris tendrement et je rougis, j'avais attendu ce moment depuis longtemps déjà et je me pensais dans un songe éveillé... Je n'avais qu'une seule envie rester dans se songe fabuleux ou cet ange était mien.

Si mon coeur aurait su battre, il aurait eu un raté. La sensation que me procurer ses lèvres sur les miennes était inexplicable car aucun mot n'aurait été assez fort pour l'exprimer. Je me réchauffais à son contacte, le son mélodieux de son coeur ainsi que ces rougeurs magnifiques qui atteignis ses joues la rendait encore plus craquant. A cette instant, je me sentais vivre jamais je n'avais sentis cela depuis plus de cent ans. Même si j'ai lu nombres d'oeuvre à se sujet, vu des pièces de théâtre ou même le vivre à travers les autres ce que je vivais à se moment n'était en rien comparable. Pouvoir lire dans les pensées des autres m'avait plus ou moins aider à comprendre ce qu'était le sentiment amoureux comme celui que partager Carlisle et Esmée qui s'aimaient depuis plus de quatre vingt dix ans leurs amours est toujours intacte et grandis de jours en jours. En vivant avec eux, je m'étais demander si un jour je pourrais vivre un amour comme eux? Maintenant j'avais ma réponse, depuis que j'avais accepter les sentiments que je ressentais pour Bella mon coeur battait de nouveau et je savais que je pourrais l'aimer d'un amour infini pour l'éternité.

Nous finîmes par rompre se baiser mais cela ne nous empêcher pas d'être toujours dans notre bulle, notre monde à nous. Nous n'avions besoin de nous parler pour savoir se que nous ressentions à se moment précis. Ses mains se plaçaient sur mon torse qui à son contacte se réchauffer. Je me mis à ressentir des sensations étrange dans mon enveloppe charnelle qui était en rien désagréable juste cette nouveauté qui envahissez tout mon être. Je n'avais encore jamais vécu de telle sensation même étant humain. Je savais qu'elle était celle que j'avais toujours chercher sans le savoir même étant humain bien que j'avais comme ambition de rentrer dans l'armée pour sauver mon pays en rien je n'avais penser à courtiser une fille et vouloir passer l'éternité à l'aimer même si se mot n'avait pas le même sens qu'il a pour moi maintenant. Je sais que si j'aurais rencontré Bella je l'aurais courtiser au moment même où nos regards se serait croiser et je lui aurais demander sa main chaque jours que dieu aurait fait jusqu'à obtenir sa main.

Une panique m'envahis à cette instant même elle avait senti la froideur de mon corps mais elle n'en faisait aucun commentaire et elle ne s'était pas enfuie au contraire elle ne quittait pas mon regard et avait placer ses mains sur mon torse et m'adresser un sourire si craquant que c'était difficile de ne pas le lui rendre se que je m'empressais de faire et laissant en même temps ce bonheur que je ressentais m'envahir et me couper le souffle par la même occasion. Ces joues étaient en feux, sans même y réfléchir ma main droite alla se poser sur celle si et se réchauffa en un instant. Je profitais de cette instant laissant mon égoïsme prendre le dessus et vivre se bonheur sans aucune honte. Cette passion qui envahissez la pièce était intense presque assourdissante. Nous ne pouvions rompre se contacte, se désire d'être ensemble dans les bras l'un de l'autre, d'être juste elle et moi réunis.

C'est rougeurs sont magnifiques

Lui dis-je en souriant. Je n'avais que d'une chose tout comme elle qui était d'unir de nouveau nos lèvres et nous laisser aller dans notre désir et vivre dans notre bulle qui était notre.

[FIN]

» Esquisse d'un soir nouveau. [Bella.]
» Link'S Bella ;:
» ID card ;: Bella Swan